Est-ce réducteur de le dire ?
La dépendance me fait penser à une chose qu’il est difficile, voir impossible de contrôler ou de diminuer.
C’est un match de Titan.
Cela apparaît comme des comportements automatiques difficiles à juguler.
Comme le dit Mani Hesam, coach que je considère énormément. Si notre subconscient qui contrôle notre corps à 95% a enregistré que la dépendance = plaisir, alors il nous engage (le corps) dans cette direction, même si le mental sait que c’est mauvais.
C’est du reste pourquoi il nous encourage à casser nos croyances enregistrées dans le subconscient, par sa méthode, le SANE (Système d’Alignement Neuro Emotionnel).
C’est un outil puissant que je pratique.
Je vous encourage à lire son livre à et tester ses programmes (le CD est à un prix accessible).

Qu’entends-je par égo ?
Egocentrisme : le fait de ne penser qu’à soi, d’ignorer les autres, de ne voir que son bénéfice. De ne pas penser à l’environnement.
Les forces subconscientes aussi, les comportements automatiques, acquis. Il existe surement un terme plus scientifique : cerveau reptilien, cerveau limbique.
La dépendance est une sorte de série de comportements acquis : Recherche du plaisir et fuite de l’inconfort, mais dans les mauvaises directions.
Souvent ces comportements nous ont sauvé sur le moment, mais coûtent à terme.
Autrefois l’alcoolisme était considéré comme une tare incurable, voir une possession de démons. Aujourd’hui, c’est considéré comme une maladie par le corps scientifique.
Je n’aime pas beaucoup le terme » maladie » mais cela peut aider à se dire qu’il faut sérieusement prendre en charge son problème.
Selon ma vison de l’égo, je dirai que c’est bien des comportements automatiques qui sont à l’oeuvre dans une dépendance, mais que je ne peux réduire un être humain à son » ego » et que souvent la dépendance cache de réelles blessures d’enfance.
Je nous souhaite d’être plus libre et d’avancer en aimant toutes les parties de soi tout en apprenant à changer.